Chez Altiplus, nous n’avons peur de rien. En ce samedi 15 décembre 2018, nous avions décidé d’entreprendre la périlleuse ascension de la face nord du Monte Grammondo et vous savez quoi ? Eh ben nous l’avons fait…

Nous avions un peu plus tôt franchi clandestinement la frontière qui sépare le royaume de Macronn’passepas de celui de Salviniunenideuxallezhopàlamer pour gagner le village qui avait été choisi pour constituer le camp de base de cette expédition insensée et pas franchement réfléchie sur l’une des faces nord les plus au sud de cette partie des Alpes.

Lorsque nous sortîmes des véhicules et nous apprêtâmes à entreprendre l’ascension, nous nous rendîmes compte que les conditions de température étaient extrêmes. Il ne faisait guère plus de deux ou trois degrés Celsius. Or, à une telle température, l’estomac de notre guide a besoin d’une double ration de gâteaux faits maison et il n’était pas certain que les participants à cette expédition eussent prévu un tel approvisionnement.

La situation était donc potentiellement dramatique. Qu’allait-il se passer ? L’expédition allait-elle se retrouver là-haut avec un guide en état de mort cérébrale (parce que lorsqu’il n’est pas nourri correctement le guide d’Altiplus sombre dans le coma et ne se réveille qu’en humant l’odeur d’un délicieux gâteau fait maison en l’absence duquel son cerveau finit rapidement par refuser de fonctionner plus longtemps) ?

Eh bien, en participant aux prochaines aventures d’Altiplus dans les montagnes des Alpes-maritimes (et sans oublier de préparer un bon gâteau fait maison), vous apprendrez tous les détails de cette extraordinaire expédition : comment nous traversâmes un torrent gelé, comment le véhicule de ravitaillement bascula dans le vide avant d’aller s’encastrer dans un arbre, dans quel état d’hypothermie nous arrivâmes au sommet, combien de gâteaux faits maison apparurent miraculeusement au moment du pique-nique, comment nous re-re-franchîmes clandestinement la frontière, comment l’un d’entre nous s’enticha d’un arbre et comment nous le persuadâmes de redescendre vers la civilisation malgré son désir d’épouser ledit arbre…